Faculty of law and political science_Magister
Permanent URI for this collectionhttps://archives.univ-eloued.dz/handle/123456789/58
Browse
Browsing Faculty of law and political science_Magister by Subject "Custody , Analgesic nursery , Divorce, Nursery"
Now showing 1 - 1 of 1
- Results Per Page
- Sort Options
Item حق المطلقة الحاضنة في المسكن من خلال قانون الأسرة الجزائري(University of Eloued جامعة الوادي, 2015) حداد, فاطمةقد تعصف مشاكل الحياة ببناء الأسرة وتؤدي للتنافر, فتنتفي الغاية المرجوة من الزواج و حتى لا يهضم حق طرف على حساب طرف آخر, أباح الإسلام الطلاق ومن أهم النتائج المترتبة عنه نجد مصير الأطفال ومن يكفلهم خاصة عندما لا تجد المرأة المطلقة مكانا يأويها مع أولادها و لا يعطي لها الحق في المسكن مما ينعكس سلبا على ممارسة حضانة أولادها. وهو ما سنحاول دراسته بالإجابة على الإشكالية الآتية: إلى أي مدى وفق المشرع الجزائري في ضبط الأحكام القانونية المتعلقة بحق المطلقة الحاضنة في المسكن؟ و ما مدى مسايرة الاجتهاد القضائي للتحولات التي أحدثها المشرع الجزائري فيما يتعلق بحق المطلقة الحاضنة في المسكن؟ يشكل الفصل الأول نقطة البداية للبحث بغرض الإحاطة و التمهيد للموضوع أي فصل مفاهيمي للدراسة نتناول فيه ماهية المطلقة الحاضنة في السكن وذلك بالتعرض : أولا:لتحديد المقصود بالمطلقة و نذكر فيه طرق فك الرابطة الزوجية سواء بإرادة الزوج أو الزوجة, أو بالتراضي منهما ثم نبين مفهوم الحاضنة بالرجوع إلى الشروط الواجب توافرها في الحاضنة. ثانيا: نتناول الأساس القانوني لإقرار أحقية المطلقة الحاضنة في المسكن و ذلك بعد تحديد مفهوم الحق في المسكن و موقف الفقه منه, حتى نوضح موقف المشرع الجزائري. ثم يأتي الفصل الثاني جوهر الموضوع الذي يبين أحكام حق المطلقة الحاضنة في السكن من خلال: أولا: شروط استحقاق المطلقة الحاضنة للسكن بتحليل المادة 52 من قانون(84/11) التي تستلزم توافر شروط قانونية معينة للاستفادة من هذ الحق و نقد هذه الأخيرة التي تعفي الزوج المطلق من اسكان الحاضنة مع المحضون بحجة أن مسكن الزوجية هو الوحيد خاصة إذا تسبب الزوج في ايقاع الطلاق كان الحق في المسكن من حقوق المطلقة التي تتصل بتوابع فك الرابطة الزوجية وهو ما يخالف المادة(72)التي توجب على والد المحضون تهيئة مسكن له أو دفع أجرته ثم نتناول تعديل (05/09) الذي ألغى جميع الشروط و ألزم الزوج المطلق بتوفير مسكن ملائم للمطلقة الحاضنة مع أولادها و ان تعذر عليه ذلك يدفع بدل الإيجار, و تضيف المادة ببقاء المطلقة الحاضنة في مسكن الزوجية حتى تنفيذ الزوج المطلق للحكم وهو ما يدفعنا للبحث في المقصود بهذا الحق.؟ وهل يمكن العمل به في اطار الصياغة الجديدة للمادة (72). ثانيا: نتناول سلطة القاضي في اسناد مسكن الحضانة للحاضنة أي أن كل مسكن زوجي قابل الإسناد للمطلقة الحاضنة مهما كان أم انه هناك حالات لا يجوز فيها للقاضي اسناد ذلك المسكن لها .هذا بالإضافة إلى بيان مدى سلطة القاضي في إسقاط ذلك الحق الذي نص عليه قانون (84/11) في حالة زواج المطلقة أو ثبوت انحرافها, في حين أغفل تعديل (05/09) ذلك. كل هذا سنتناوله بتحليل النصوص القانونية المنظمة لذلك والرجوع للاجتهادات القضائية و محاولة الغوص في مضامينها و الكشف عن مسايرتها من عدم ذلك للمواد كونها تجسد الواقع المعيش Nombreuses sont les difficultés de la vie pour fonder un foyer, pouvant secouer ses fondations voire détruire et annihiler l’objectif ou la finalité attendre du mariage. Dans le but de préserver le droit des deux parties et de ne point léser l’une au détriment de l’autre, L’islam a permis et autorisé le divorce dont la conséquence touches directement le sort des enfants et le parent qui ont à la charge, notamment l’épouse divorcée lorsqu’elle ne dispose pas de logis ou s’abriter elle-même avec ses enfants, car n’ayant pas droit au logement. Cela se répercute négativement sur l’exercice de la garde des enfants. Il s’agit là du thème que nous allons essayer d’étudier en répondant à la problématique suivante : Jusqu’à quel point peut-on apprécier l’approche du législateur Algérien quand sa maitrise des dispositions juridiques et légales relatives au droit au logement de la femme divorcée bénéficiaire de la garde ? Le premier chapitre constitue le point de départ de la présente étude ou recherche pour cerner et introduire le thème, soit un chapitre conceptuel de cette étude ou nous abordons l’identification de l’épouse divorcée bénéficiaire de la garde et son droit au logis à travers : Premièrement : la détermination de ce qui est entendu par « épouse divorcée » ou nous rappelons les choix rupture du lien conjugal, par volonté de l’époux ou de l’épouse ou par le consentement des deux, puis nous définissons le concept de l’épouse divorcée bénéficiaire de la garde, en se référant aux conditions à remplir obligatoirement par cette dernière. Deuxièmement : nous abordons le fondement légal de la décision d’accorder le droit au logement de l’épouse divorcée bénéficiaire de la garde, et ce, après avoir défini de concept du droit au logement et l’attitude de la jurisprudence pour déterminer celle du législateur algérien. Dans le deuxième chapitre qui constitue le fond essentiel du thème, lequel explicite les dispositions du droit au logement de la femme divorcée bénéficiaire de la garde à travers : Premièrement : les conditions d’éligibilité au logis de l’épouse divorcée bénéficiaire de la garde, en faisant l’e analyse de l’article 52 de la loi (84/11) qui exige que soient remplies certaines conditions légales, pour accéder à ce droit et en faisant la critique de ce dernier lequel dispense l’époux divorcé de faire loger l’épouse divorcée avec l’enfant gardé, au vu du seul et unique domicile conjugal, notamment lorsque l’époux est à l’origine du divorce. Alors le droit au logis est dévolu à l’épouse divorcée, parmi les autres droits en rapport avec les effets de la rupture de lien conjugal. Ce qui est contraire à l’article (72) qui oblige le père de l’enfant gardé à lui assurer un logement ou à lui verser son loyer. Ensuite, nous abordons l’amendement de la loi (05/09) annule toute les conditions et oblige l’époux divorcé de fournir un logement décent à l’épouse divorcée bénéficiaire de la garde avec ses enfants, à défaut, de lui verser le loyer. Le même article (72) ajoute de maintenir l’épouse divorcée bénéficiaire de la garde dans le domicile conjugal jusqu’à l’exécution de la décision judiciaire. C’est ce qui nous pousse à rechercher ce qu’il est entendu par un tel droit ( ?!) et de voir l’état de son application dans la nouvelle formulation de l’article 72. Deuxièmement : nous abordons l’autorité du juge de confier le logement de la garde a l’épouse divorcée bénéficiaire de la garde soit que tout domicile conjugal peut être confie a l’épouse divorcée bénéficiaire de la garde, dans tous les cas, ou bien alors-y-a-t-il des cas ou le juge ne peut confier un tel logis ou domicile ? En autre, il faut démontrer l’autorité du juge dans la déchéance d’un tel droit stipulé dans la loi (84/11), en cas de remariage ou pour faute immorale établie, alors que cela a été négligé dans la loi (05/09). Enfin, nous examinerons tout cela, par l’analyse des textes juridiques règlementant, en précédant a l’étude des textes judiciaires et en essayant d’apprendre l’examen de leur contenu et de leur déviation dans les articles ,vu que ces études et recherche concrétisent la réalité vécue.