Contribution to the study of garlic pests and diseases in El Oued region

Abstract

L'ail (Allium sativum L.) est la culture commerciale la plus importante cultivée partout dans le monde et consommée sous diverses formes. Il est généralement utilisé comme légume, comme épice ou comme médicament. Cette étude a été réalisée dans la région d'El Oued dans le but de déterminer les principaux ravageurs et maladies des cultures d'ail et de documenter les connaissances des agriculteurs sur ces ravageurs et maladies et leurs mesures de lutte dans certaines communes de la wilaya d'Oued Souf. L'enquête a été menée entre Fevrier et May 2024. Au total, 33 questionnaires ont été distribués aux producteurs d'ail dans 6 communes différentes. Les résultats de notre enquête montrent que : 82 % des agriculteurs sont des hommes, dont 48 % sont âgés de <40 ans. 39% d'entre eux ont un niveau universitaire. 79 % des agriculteurs interrogés ont cultivé une superficie comprise entre 1 et 2 hectares d'ail. 39% des agriculteurs ont confirmé qu'ils cultivent de l'ail parce que la culture de l'ail est rentable, la plupart des agriculteurs (87%) questionnés en pratiquant le cycle agricole. Les ravageurs de l'ail les plus fréquemment observés sont : les nématodes, la mouche de l'oignon, l'araignée rouge, les thrips et la teigne du poireau. Avec l'utilisation de l'insecticide suivant Thiamethoxame + de Lambda-cyhalothrine. Par ailleurs, les principales maladies du galic les plus fréquemment observées dans notre étude sont : Pourriture basale, Mildiou, Maladies virales et Pourriture blanche Avec l'utilisation du Difénoconazole, de l'Azoxystrobine et du Difénoconazole et du fongicide Boscalid + Pyraclostrobine us. La majorité des agriculteurs respectent la dose de pesticide et le délai avant récolte et plus de la moitié des agriculteurs sèchent l'ail dans des endroits autres que le site de récolte et ne disposent pas d'équipement pour stocker l'ail. 55% des agriculteurs utilisent de vêtements de protection lors de la pulvérisation du pesticide, la plupart d'entre eux ont appliqué une période de sécurité de 10 à 15 jours et n'ont reçu aucune formation sur les bonnes pratiques en matière de pesticides.