حامد, المنجي2020-06-172020-06-172016-03-01مقال بمجلة الدراسات والبحوث الاجتماعية2352-9555http://dspace.univ-eloued.dz/handle/123456789/6785مقال بمجلة الدراسات والبحوث الاجتماعيةL’axe central de notre problématique s’articule autour de deux grands thèmes de recherche. D’une part, l’étude de perspective d’embauche et analyse de recrutement, d’autre part le chômage, ces contrecoups relationnels et symboliques entre l’individu (sujet/savoir) et la société (sujette/pouvoir). Le concept de Revenu Minimum d’Insertion (RMI) ou les atouts possibles qui facilitent l’insertion professionnelle d’un jeune homme quelque soit un atout personnel (précocité, motivation, diplôme...) ou social (capital relationnel, réseau social...), est le point commun entre les deux axes précédents et aussi un croisement qui joint l’insertion avec son antonyme : l’exclusion. - Etre au Revenu Minimum d’Insertion c’est profiter de son temps pour se développer : se soigner, se loger indépendamment, mûrir ses projets, fonder des réseaux sociaux, penser à l’avenir, diversifier les occasions d’intégration et être capables de les exploiter ; c’est un pas vers l’insertion. - Etre au revenu minimum d’insertion c’est aussi perdre son temps productif : se démotiver face au travail, se dévaloriser, être incapable de profiter des occasions, désengager ; c’est un pas vers l’exclusionArle service social, l’insertion professionnel, l’exclusion social, l’emploie le chômageService D’insertion Professionnelle Face à L’exclusion SocialeArticle